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Selon l'auteur, Jean-Claude Diébolt : "Ma saga obéit au Kant de l’esthétique transcendantale, notre sensibilité qui développe espace et temps existants. J’y ai appris que la flèche de la temporalité, « du passé à l’avenir » n’est qu’un point de vue restreint, tandis que le temps nous plonge dans la durée et le simultané, débordant le successif… Bref, nos existences baignent dans un passé qui se prolonge, ne se découpent pas en instants mais font coexister des moments très éloignés dans leur succession…"
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